

Le saviez-vous ? Conter et compter ont la même étymologie, et, traditionnellement, le conte est associé à l'artisanat et au commerce. Team building, anniversaires d'entreprise et arbres de Noël, animations commerciales, animations interculturelles... le conte peut faire grossir vos comptes.
Quelle place y a-t-il pour l’altruisme dans l’économie moderne ? Deux auteurs à succès, le philosophe et moine bouddhiste Matthieu Ricard et l’économiste Daniel Cohen, confrontent leurs visions, à quelques jours de la conférence internationale de Copenhague sur le climat (du 7 au 18 décembre).
Madame Figaro. – Vous pointez tous les deux l’urgence de réagir face à un modèle qui craque de toutes parts. Mais votre inquiétude, Daniel Cohen, s’oppose à la confiance inébranlable en l’homme de Matthieu Ricard….
Daniel Cohen. – Nous vivons une situation inédite. Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, une seule civilisation domine la Terre : notre modèle occidental matérialiste, construit sur le « toujours plus ». Or, à l’heure où notre mode de vie consumériste se propage sur toute la planète, notamment en Chine et en Inde, ce modèle bute sur la contrainte écologique et va peut-être rencontrer ses limites ! C’est ce « peut-être » qui nourrit mon inquiétude. Car nous filons droit vers un suicide collectif. Je préfère considérer que le pire est possible, car c’est, à mon avis, la seule manière de l’éviter.
Matthieu Ricard. – Je partage votre sentiment, le danger est énorme. C’est même le plus grand auquel l’humanité ait jamais fait face ! Voilà pourquoi nous ne devons pas perdre un instant. Pour moi, ce n’est pas la magnitude de la tâche qui compte, mais celle du courage. L’intelligence humaine en est capable. L’écologie, qui il y a dix ans faisait sourire, est aujourd’hui au cœur des débats publics, et face à ce défi, nous dépendons plus que jamais les uns des autres. Cela m’aide à croire que nous avons tous en nous un potentiel pour plus d’altruisme et de solidarité. Et seules ces qualités humaines peuvent provoquer le sursaut de conscience qui nous sauvera de la débâcle.
Le segment des magazines TV (qui demeure un des plus lus) a vu apparaître une innovation à laquelle il se prête tout particulièrement : la diffusion de contenus sur téléphone mobile. Prisma Presse crée en effet une application Télé-Loisirs pour l’iPhone, qui permet de consulter programmes et actualité.
Ce type de formule se présente comme une des réponses viables à l’interrogation toujours renouvelée sur la rentabilisation de l’information en ligne. En effet, l’univers de la téléphonie mobile constitue un contexte bien spécifique dans lequel la notion de service payant fait partie du paysage. En revanche, la question ne trouve pas vraiment de réponse satisfaisante en ce qui concerne Internet. Là où certains groupes de presse, comme Bayard (avec www.bayardkids.com), rencontrent un certain succès avec leurs sites sur abonnement, les grands journaux se heurtent à la réticence des internautes à payer pour accéder à l’information.
Article mis à jour en septembre 2009
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Roularta, 1er groupe de presse belge, s’était fait une place de premier plan sur le marché français en rachetant plusieurs grands magazines, parmi lesquels L’Express et L’Expansion. Pourtant, le groupe affiche au 1er semestre 2009 une perte nette de près de 11 millions d’euros, entraînant plus de 50 suppressions d’emploi au sein des effectifs français du groupe. Le groupe va procéder à des ventes de matériel et de biens immobiliers. Au niveau éditorial, les décisions prises concernent le recentrage du portefeuille de titres, la cession de certains titres spécialisés comme Sonovision, Hifi Vidéo et Prestige audio vidéo (à Transoceanic) et la fusion de certains autres (Classica avec Le Monde de la musique, Studio avec Ciné Live).
La presse magazine tire plutôt mieux son épingle du jeu, même si son audience globale a reculé de 3,6% en 2008. Plusieurs titres du groupe Lagardère affichent une nette progression, parmi lesquels Public (avec +5,4% et plus de 3 millions de lecteurs), Télé 7 jours (plus de 6 millions de lecteurs), Auto-Moto (+1,6%), tandis que d’autres se maintiennent, notamment Elle, Psychologie magazine, Version Femina. Dans sa volonté de recentrage sur les magazines grand public, le groupe cède Onze mondial, leader des mensuels consacrés au football, au groupe spécialisé Sporteam Médias. Mondadori, lui, affiche une santé suffisante pour se permettre le lancement d’un nouveau titre : Grazia, un hebdomadaire féminin à grand tirage qui existe en Italie depuis 1938.
Quant à la presse gratuite, la baisse des recettes publicitaires porte un sérieux coup à sa santé. Ainsi le quotidien Metro (présent dans plus de 20 pays) envisage la cession de parts pour assainir ses finances. Malgré les graves difficultés signalées par le premier congrès mondial de la presse gratuite, qui s’est tenu à Madrid fin 2008, de nouveaux titres continuent néanmoins d’apparaître, en particulier sur des thématiques spécialisées : business (Dynamique entrepreneuriale), culture (deliciouspaper), animaux de compagnie (Z’Animag), santé (Pause santé)…
Article mis à jour en septembre 2009
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Comment se déroule le processus de recrutement pour un poste en Chine ?
Comme la Chine est à l’autre bout du monde, avec une culture totalement différente, il faut être certain que le candidat pourra s’intégrer facilement une fois en place. La procédure est donc assez longue et il n’est pas rare de voir le candidat abandonner en cours de route.
Pour notre part, une fois le candidat trouvé, nous lui faisons passer des entretiens pour évaluer sa motivation et son ouverture d’esprit. Si le candidat convient, nous le présentons à l’entreprise avec un rapport détaillé de ses compétences et des conditions dans lesquelles il peut évoluer. Il passe enfin plusieurs entretiens auprès des DRH et dirigeants.
Quels sont vos conseils pour les Français souhaitant travailler en Chine ?
Le plus important est d’être réellement intéressé et motivé par la Chine. Une erreur fréquente chez les jeunes est de croire que travailler ici est synonyme d’argent facile. Il ne faut surtout pas rester sur l’idée que ce pays est un « eldorado » pour les cadres étrangers. D’autant que le recrutement d’expatriés non asiatiques a tendance à se réduire pour des raisons de salaires et d’adaptation à l’environnement.
Au niveau linguistique, l’anglais est indispensable. C’est la langue du travail, du commerce, de la négociation… Le mandarin n’est pas obligatoire, mais c’est un atout indéniable. Connaître des notions de chinois permet de s’intégrer plus facilement, c’est également une preuve de respect envers les collègues locaux. Et le respect est très important en Chine !
Quel est le rapport à la hiérarchie dans les entreprises chinoises ?
Dans l’ensemble, humilité et modestie sont des qualités appréciées. Peu importe le niveau hiérarchique, tout le monde doit être traité sur un pied d’égalité. Ainsi un étranger ne doit absolument pas être prétentieux, même s’il a des employés locaux sous ses ordres. En outre, il ne faut jamais faire perdre la face à son interlocuteur. Nous en revenons toujours au respect, notion de base du système chinois.
Interview réalisée en juin 2009
Cegos Chine a vu le jour en 1997. Spécialisé en formation, conseil et recrutement, ils sont implantés à Shanghai et Pékin.
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Test Psychotechnique
Vous passez un concours du secteur paramédical comportant des tests psychotechniques. Entrée en IFSI (Institut de formation en soins infirmiers), en école d'orthophoniste, d'ergothérapeute, d'audioprothésiste. Préparez l'épreuve de tests psychotechniques : elle peut faire la différence ! Dans cette épreuve, les tests d'aptitude verbale sont décisifs. Pour les réussir, vous devez : maîtriser les subtilités de la langue française ; être rapide et parfaitement entraîné. Mettez toutes les chances de votre côté grâce à cet ouvrage. Repérez vos lacunes et vos points forts avec le test d'auto-évaluation. Révisez les bases du français et apprenez à déjouer les pièges des tests. Entraînez-vous avec des exercices, des QCM et des sujets corrigés de difficulté croissante.
Vous trouverez ici :
METHODE ET EXERCICES.
-Les tests de définition.
-Les tests de synonymes.
-Les tests d'antonymes.
-Les tests d'homonymes.
-Les tests de paronymes.
-Les tests de proverbes, dictons et locutions.
-Les tests d'orthographe lexicale : connaissances de base.
-Les tests d'orthographe lexicale : les accents.
-Les tests d'orthographe grammaticale : le genre et les finales des noms.
-Les tests d'orthographe grammaticale : les mots invariables et le pluriel des noms communs.
-Les tests d'orthographe grammaticale : les adjectifs qualificatifs.
-Les tests d'orthographe grammaticale : les formes verbales.
-Les tests d'orthographe grammaticale : les accords du participe passé.
-Les tests de conjugaison Les tests d'homophones grammaticaux.
-Les tests de phrases à corriger.
-Les tests de composition de mots.
-Les tests d'analogies.
-Les jeux de mots.
Pour en savoir plus http://www.sudoku-gratuit.fr/test-psychotechnique-concours-ifsi.htm
Consultez le B. O. ftp://trf.education.gouv.fr/pub/edutel/bo/2006/32/32.pdf
Une autre histoire commence. C'est un chasseur, on est en septembre. C'est bientôt l'ouverture de la chasse, il est impatient, il y va un peu avant. Il a pas le droit, mais le Goubelle, il adore la chasse. Trop même, c'est plus un chasseur, c'est un viandard. Il avait le fusil pointé sur la bête, mais y pouvait pas tirer. Qu'est-ce qui pouvait bien empêcher le Goubelle de tirer ? Des yeux magnifiques. Une biche au regard émouvant comme Paro dans “Devdas”. Pour ceux qui ne connaissent pas Devdas 1) Le rôle de Paro est tenu par Miss Monde 1992. 2) Débrouillez-vous pour voir le film, car je ne le répéterai pas. Ceux qui n'aiment pas Devdas, ils s'en vont. Donc la biche avait un regard... de biche. En plus, elle parlait :
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Le blocage de trois ports du Nord-Pas-de-Calais pour obtenir une augmentation des quotas de pêche se poursuivait mercredi soir alors qu'une table-ronde réunissait à Paris les marins-pêcheurs et leur ministre de tutelle, Michel Barnier. Lire la suite l'article
Entamées à 19h00, les discussions se poursuivaient au ministère de l'Agriculture à 22h00.
A leur arrivée, les membres de la délégation, forte d'une douzaine de personnes, ont répété qu'ils ne voulaient pas des indemnisations évoquées par le gouvernement français.
Les marins-pêcheurs ont dépassé dans la Manche, depuis début avril, leur quota de pêche au cabillaud et à la sole. L'UE avait autorisé pour 2009 une augmentation de 30% des quotas par rapport à l'année précédente.
"Nous allons demander de pouvoir travailler pendant les huit mois qu'il nous reste", a déclaré José Huleux, artisan-pêcheur. "Nous renouvelons nos revendications pour des quotas supplémentaires", a-t-il ajouté devant les journalistes.
"Du poisson il y en a, nous n'allons pas tuer la ressource", a renchéri un autre membre de la délégation.
Les ports de Boulogne-sur-Mer et de Calais (Pas-de-Calais) ainsi que celui de Dunkerque (Nord) sont bloqués depuis mardi par des marins-pêcheurs qui protestent contre la faiblesse de leurs quotas de pêche pour le cabillaud et la sole, deux espèces menacées de surexploitation selon la Commission européenne.
"Nous allons discuter avec le ministre, mais nous maintenons le blocage", a déclaré Jean Thiebaut, secrétaire régional CFDT des pêches, au nom de l'intersyndicale.
Plusieurs pêcheurs ont annoncé mercredi des "opérations-escargot" dans la région, notamment sur l'autoroute A 16 qui mène au tunnel sous la Manche, a-t-on indiqué de source syndicale.
FIN DE NON-RECEVOIR SUR LES QUOTAS
Mercredi matin, les pêcheurs avaient accepté de lever quelques minutes le blocus du port de Dunkerque afin de laisser sortir un ferry de plusieurs centaines de passagers afin de ne pas risquer une situation sanitaire délicate à gérer.
A cette exception, les ports de Calais, Boulogne-sur-Mer et Dunkerque sont restés bloqués mercredi pour la deuxième journée consécutive et aucun ferry n'a pu prendre la mer.
Des responsables de comités locaux de pêche avaient auparavant refusé de discuter avec le ministre sans augmentation préalable des quotas de pêche au cabillaud notamment, et la proposition d'aide financière de Michel Barnier a été rejetée.
"On ne veut pas d'argent, surtout pas d'argent, on veut juste pouvoir travailler", a déclaré Olivier Leprêtre, patron de pêche à Boulogne.
Stéphane Pinto, responsable CFDT, est sur la même longueur d'ondes: "Pas question de parler d'aide financière, on veut parler quotas".
Mais la Commission européenne, qui pilote les quotas, a déjà opposé une fin de non-recevoir à cette requête.
"Il n'y a pas de marge de manoeuvre sur les quotas, tout simplement parce que les quotas sont décidés par les Etats membres lors du conseil pêche de décembre tous les ans. Cette décision est basée sur des avis scientifiques", a déclaré mercredi la porte-parole du commissaire à la Pêche, Joe Borg.
"La solution ne passe pas une augmentation des quotas qui n'aurait pour résultat que de faire s'effondrer les stocks de poisson et de ruiner les flottes concernées", a-t-elle dit.
Le gouvernement français écarte lui aussi une renégociation des quotas, qui s'opère sur une base annuelle, mais n'exclut pas des mesures d'indemnisation ponctuelle en faveur des pêcheurs en difficulté comme cela avait été le cas en avril 2008.
"L'an dernier, nous avons débloqué 3,1 millions d'euros pour ces mesures dites d''arrêts temporaires'. Il faudra en discuter au cas par cas", précise Michel Barnier, dans une interview au Parisien-Aujourd'hui en France.
Service France, édité par Yves Clarisse