vendredi 25 décembre 2009

Joyeux Noël


http://www.pakmela.com - Free Image and Song Greetings

jeudi 24 décembre 2009

Le saviez-v ous ?

Commercial itinérant
Le saviez-vous ?

Compter et conter ont la même étymologie.

Les colporteurs, ancêtres de nos commerciaux itinérants, étaient aussi des conteurs.

Dans certains pays, refuser de marchander est une offense faite au vendeur. Ces pays ont une tradition de conte bien ancrée.

Personnellement, mes recherches sur le conte et ma pratique de conteuse m'ont permis de m'adapter à différents publics, d'analyser la réception d'un texte et d'adapter mon discours en fonction de mon interlocuteur.

Avoir un D.E.A. sur le conte et postuler sur des emplois commerciaux, ça en fait rire certains. Pourtant, quand j'ai repris une formation, un M2 pro en Métiers de la rédaction, nous avons eu des cours de pub. Les conteurs n'ont rien a envier des commerciaux : ils sont payés juste pour être écoutés, le message-massage de Marshall MacLuhan, ils maîtrisent très bien ; le feed-back aussi.

Bref, le commerce est un Art de la Parole. Place aux artistes, donc !

mercredi 23 décembre 2009

La chasse

http://www.chassepassion.net/lievre.php

mardi 22 décembre 2009

Elu mais pas appelé

Elu, mais pas appelé.

A bas le mythe de la vocation. De son temps, t’étais bon, t’allais en classe supérieure, si possible en C.(actuellement S.). Il a atterri en sciences économiques. Un jour, un déclic : il sera journaliste. Pourquoi ?

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C’est utile : sans information de qualité, pas de citoyens aptes aux élections.
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On ne s’ennuie pas une minute : les journées se suivent mais ne se ressemblent pas.
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C’est un métier intellectuel et engagé, on crée, et on recrée le monde.
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On prend son pied … en écrivant. Mais chut !C’est tabou.
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Qui, que, quoi, où, comment, pourquoi ? Toutes les questions qu’un enfant bien élevé ne pose pas ; le journaliste peut le faire. Car dans le monde de l’information, la curiosité n’est pas un vilain défaut.


Quand même, Eric, le journalisme n’est pas un jeu d’enfant…

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C’est vrai. Un journal est trop dépendant de son propriétaire.
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Parfois, c’est le rédacteur en chef caractériel qu’il faut se coltiner. Heureusement, le métier bouge. Et peut-être que son patron à lui ne le supportera plus non plus…
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C’est frustrant car on accumule un savoir et on ne peut en diffuser qu’un tout petit bout.
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La société aime se contempler dans le miroir des médias. Parfois, elle le brise. Et oui, c’est dur d’entendre que Blanche-Neige est plus belle et plus pure. Alors, la violence à l’école, le trou de la sécu et de la couche d’ozone, la belle-mère infecte ; c’est la faute au méchant journaliste.
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Le personnel est compressé, le journaliste pressé. On rencontre les gens … par téléphone. Pratique, pour déchiffrer entre les lignes des rides d’expression ! Pire, on interroge des auteurs sur les livres qu’on pas eu le temps de lire.
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De son temps, on avait un C.D.I., même sans diplôme. Maintenant, avec l’E.S.J. , on peut espérer un C.D.D. A l’E.S.J., on évite l’élitisme. On essaie d’abaisser le niveau d’études pour entrer à l’école. Celui qui n’a pas les moyens de se payer de longues études doit pouvoir devenir journaliste. Car c’est ça aussi la démocratie : permettre aux couches sociales défavorisées de fabriquer l’information.


En bref, c’est quoi le journalisme ?

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Identifier un sujet.
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Trouver un angle.
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Penser à ses interlocuteurs.
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Raconter une histoire.


Au fait, cet homme jovial n’est pas que journaliste. Chez lui, ce sont les années qui se suivent et ne se ressemblent pas. D’abord, il a été journaliste sportif à l’Equipe. Non mesdames, ce n’est pas un papier pour mecs qui font semblant de lire entre deux canettes. Car on y décrit le rôle social du sport. La grande Françoise Vernet l’a appelé pour qu’il sorte un ouvrage parlant des relations entre le sport, la télévision et la politique. En 1995, le livre Les Bleus traitait de la naissance de la France Black, Blanc, Beur. Quant à l’ouvrage Le Scandale du sport contaminé, il lui a valu le remerciement de médecins et sportifs. Ensuite, il a été enseignant à l’E.S.J. Et maintenant, il se virtualise. 5, 4, 3, 2, 1, 0 … Lancement d’un site d’informations sur le net. En attendant que la télépathie devienne possible …

mardi 15 décembre 2009

L'entretien d'embauche

1. Why did you apply for this job?
I have applied for many jobs along with this one and
it''s just that you called me first.


2. Why do you want to work for this company?
I have to work for some company, whoever gives me a job,
I don''t have any specific company in mind.


3. Why should I hire you?
You have to hire some one, you may give me a try.


4. What would you do if this happened?
Well, it depends on my mindset and mood in that situation...


5. What is your biggest strength?
I dare to join any company who pays me well,
without thinking about the fate of company.


6. What is your biggest weakness?
Girls


7. What was your worst mistake and how did you learn from it?
Joining my earlier company and I learnt that I need to switch my job
to get more money, so I am here today.


8. What accomplishments in your last position are you most proud of?
Had I accomplished any in my last position,
why do I need to change my job?
I could demand more and stay there.


9. Describe a challenge that you faced and how did you overcome it?
Biggest challenge is answering the question
"why are you looking for a change"
and I started blabbering irrelevantly to overcome that.


10. Why did you leave/ are you leaving your last job?
For the same reason why you left your previous job.


11. What do you want from this job?
No work and good hikes.


12. What are your career goals and how do you plan to achieve them?
Making more money and for that I keep switching jobs every two years.


13. What do you know about our company?
I knew you will ask me this question.
So, I''ve gone through your website.


14. What salary are you expecting?
Well, no one will change his job for the same salary,
hence, give me 20% extra than what I am getting right now.
I know you will bargain on whatever I ask.
So I have already hiked my current salary by 30%.

vendredi 4 décembre 2009

Vision bouddhiste de l'entreprise

Entretien : Daniel Cohen et Matthieu Ricard

Quelle place y a-t-il pour l’altruisme dans l’économie moderne ? Deux auteurs à succès, le philosophe et moine bouddhiste Matthieu Ricard et l’économiste Daniel Cohen, confrontent leurs visions, à quelques jours de la conférence internationale de Copenhague sur le climat (du 7 au 18 décembre).

Madame Figaro. – Vous pointez tous les deux l’urgence de réagir face à un modèle qui craque de toutes parts. Mais votre inquiétude, Daniel Cohen, s’oppose à la confiance inébranlable en l’homme de Matthieu Ricard….

Daniel Cohen. – Nous vivons une situation inédite. Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, une seule civilisation domine la Terre : notre modèle occidental matérialiste, construit sur le « toujours plus ». Or, à l’heure où notre mode de vie consumériste se propage sur toute la planète, notamment en Chine et en Inde, ce modèle bute sur la contrainte écologique et va peut-être rencontrer ses limites ! C’est ce « peut-être » qui nourrit mon inquiétude. Car nous filons droit vers un suicide collectif. Je préfère considérer que le pire est possible, car c’est, à mon avis, la seule manière de l’éviter.

Matthieu Ricard. – Je partage votre sentiment, le danger est énorme. C’est même le plus grand auquel l’humanité ait jamais fait face ! Voilà pourquoi nous ne devons pas perdre un instant. Pour moi, ce n’est pas la magnitude de la tâche qui compte, mais celle du courage. L’intelligence humaine en est capable. L’écologie, qui il y a dix ans faisait sourire, est aujourd’hui au cœur des débats publics, et face à ce défi, nous dépendons plus que jamais les uns des autres. Cela m’aide à croire que nous avons tous en nous un potentiel pour plus d’altruisme et de solidarité. Et seules ces qualités humaines peuvent provoquer le sursaut de conscience qui nous sauvera de la débâcle.

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Web-édition

Imprimer

Les contenus en ligne demeurent " un casse-tête " pour la presse

La quête d'un modèle économique pour l'information sur Internet se poursuit.

Le segment des magazines TV (qui demeure un des plus lus) a vu apparaître une innovation à laquelle il se prête tout particulièrement : la diffusion de contenus sur téléphone mobile. Prisma Presse crée en effet une application Télé-Loisirs pour l’iPhone, qui permet de consulter programmes et actualité.

Ce type de formule se présente comme une des réponses viables à l’interrogation toujours renouvelée sur la rentabilisation de l’information en ligne. En effet, l’univers de la téléphonie mobile constitue un contexte bien spécifique dans lequel la notion de service payant fait partie du paysage. En revanche, la question ne trouve pas vraiment de réponse satisfaisante en ce qui concerne Internet. Là où certains groupes de presse, comme Bayard (avec www.bayardkids.com), rencontrent un certain succès avec leurs sites sur abonnement, les grands journaux se heurtent à la réticence des internautes à payer pour accéder à l’information.

Article mis à jour en septembre 2009

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Journalisme en crise

La presse plus que jamais dominée par les grands groupes

Secteur déjà troublé, la presse écrite subit douloureusement les effets de la crise.

Roularta, 1er groupe de presse belge, s’était fait une place de premier plan sur le marché français en rachetant plusieurs grands magazines, parmi lesquels L’Express et L’Expansion. Pourtant, le groupe affiche au 1er semestre 2009 une perte nette de près de 11 millions d’euros, entraînant plus de 50 suppressions d’emploi au sein des effectifs français du groupe. Le groupe va procéder à des ventes de matériel et de biens immobiliers. Au niveau éditorial, les décisions prises concernent le recentrage du portefeuille de titres, la cession de certains titres spécialisés comme Sonovision, Hifi Vidéo et Prestige audio vidéo (à Transoceanic) et la fusion de certains autres (Classica avec Le Monde de la musique, Studio avec Ciné Live).

La presse magazine tire plutôt mieux son épingle du jeu, même si son audience globale a reculé de 3,6% en 2008. Plusieurs titres du groupe Lagardère affichent une nette progression, parmi lesquels Public (avec +5,4% et plus de 3 millions de lecteurs), Télé 7 jours (plus de 6 millions de lecteurs), Auto-Moto (+1,6%), tandis que d’autres se maintiennent, notamment Elle, Psychologie magazine, Version Femina. Dans sa volonté de recentrage sur les magazines grand public, le groupe cède Onze mondial, leader des mensuels consacrés au football, au groupe spécialisé Sporteam Médias. Mondadori, lui, affiche une santé suffisante pour se permettre le lancement d’un nouveau titre : Grazia, un hebdomadaire féminin à grand tirage qui existe en Italie depuis 1938.

Quant à la presse gratuite, la baisse des recettes publicitaires porte un sérieux coup à sa santé. Ainsi le quotidien Metro (présent dans plus de 20 pays) envisage la cession de parts pour assainir ses finances. Malgré les graves difficultés signalées par le premier congrès mondial de la presse gratuite, qui s’est tenu à Madrid fin 2008, de nouveaux titres continuent néanmoins d’apparaître, en particulier sur des thématiques spécialisées : business (Dynamique entrepreneuriale), culture (deliciouspaper), animaux de compagnie (Z’Animag), santé (Pause santé)…

Article mis à jour en septembre 2009


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travailler en Chine

"Le respect est primordial !"

Directeur général de Cegos Chine, Alexandre Morin conseille de faire preuve d'ouverture d'esprit pour réussir sa carrière dans l'Empire du milieu.

Comment se déroule le processus de recrutement pour un poste en Chine ?

Comme la Chine est à l’autre bout du monde, avec une culture totalement différente, il faut être certain que le candidat pourra s’intégrer facilement une fois en place. La procédure est donc assez longue et il n’est pas rare de voir le candidat abandonner en cours de route.

Pour notre part, une fois le candidat trouvé, nous lui faisons passer des entretiens pour évaluer sa motivation et son ouverture d’esprit. Si le candidat convient, nous le présentons à l’entreprise avec un rapport détaillé de ses compétences et des conditions dans lesquelles il peut évoluer. Il passe enfin plusieurs entretiens auprès des DRH et dirigeants.

Quels sont vos conseils pour les Français souhaitant travailler en Chine ?

Le plus important est d’être réellement intéressé et motivé par la Chine. Une erreur fréquente chez les jeunes est de croire que travailler ici est synonyme d’argent facile. Il ne faut surtout pas rester sur l’idée que ce pays est un « eldorado » pour les cadres étrangers. D’autant que le recrutement d’expatriés non asiatiques a tendance à se réduire pour des raisons de salaires et d’adaptation à l’environnement.

Au niveau linguistique, l’anglais est indispensable. C’est la langue du travail, du commerce, de la négociation… Le mandarin n’est pas obligatoire, mais c’est un atout indéniable. Connaître des notions de chinois permet de s’intégrer plus facilement, c’est également une preuve de respect envers les collègues locaux. Et le respect est très important en Chine !

Quel est le rapport à la hiérarchie dans les entreprises chinoises ?

Dans l’ensemble, humilité et modestie sont des qualités appréciées. Peu importe le niveau hiérarchique, tout le monde doit être traité sur un pied d’égalité. Ainsi un étranger ne doit absolument pas être prétentieux, même s’il a des employés locaux sous ses ordres. En outre, il ne faut jamais faire perdre la face à son interlocuteur. Nous en revenons toujours au respect, notion de base du système chinois.

Interview réalisée en juin 2009



Cegos Chine
a vu le jour en 1997. Spécialisé en formation, conseil et recrutement, ils sont implantés à Shanghai et Pékin.


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mercredi 2 décembre 2009

La statégie partagée